L'Iranistan

Carte de l'Iranistan à l'époque de Conan
1000 ans avant Conan

L'Iranistan n'est que brièvement mentionnée dans une des aventures de Conan écrites par Robert E. Howard. Ce royaume n'apparait même pas sur la carte créée par Robert E. Howard mais d'autres artistes, érudits et écrivains ont trouvé un espace adéquat à l'Ouest de la Vendhya et au Sud de Turan, en-deça des Montagnes Colchiennes. Parce que Robert E. Howard ne dit rien de l'Iranistan de plus que c'est de là que vient Kerim Shah, les informations qui suivent tirent leurs sources des travaux d'autres auteurs.

Le peuple d'Iranistan est décrit comme ayant des cheveux noirs et étant large d'épaules. Ils ont la peau et les yeux sombres. Les Iranistani sont de la même racine que les Ghulistani; ils sont relativement chevelus. Les nombreuses tribus d'Iranistani varient très peu dans leur description. Bien que la population des Iranistani soit composée de nombreuses unités tribales distinctes, leur mode de vie est pour l'essentiel le même.

L'art est une vertu
L'amour de l'art est un élément commun parmi les Iranistani. Pratiquement tout ce que font les Iranistani est joli. Même les objets les plus communs, comme les sacs pour transporter des produits au bazaar, sont brodés et décorés. Même les animaux sont "vêtus" de parures tissées. De la calligraphie recherchée et des oeuvres visuelles sont déployées dans les garnitures qui ornent les constructions. Les Iranistani respectent à la fois l'art et les artistes. La poésie et le conte sont des passe-temps honorés et traditionnels parmi les Iranistani.

L'importance de la famille
En dehors de l'art, l'importance vitale de la famille est un autre élément commun trouvé dans la culture Iranistani. Les familles sont extrêmement unies et une tribu n'est simplement composée que par les branches d'une seule famille conduite par un chef tribal dont la parole fait office de loi. Les villages sont construits autour de l'unité familiale. Ils représentent des groupes auto-suffisants qui suivent un chef, habituellement le plus vieux représentant masculin du village, qui a son tour suit le chef tribal. Dans les plus grandes villes, le chef est un riche propriétaire terrien appelé khan. Les nomades appellent leurs chefs sheiks.

Honneur
Les tribus Iranistani ont leurs propres codes de l'honneur qui est similaire d'un bout à l'autre du pays, un code qui enseigne l'honneur, la fierté et l'hospitalité familiale. La famille est plus importante que l'individu. La famille définit l'individu. L'honneur personnel est aussi l'honneur familial et vice versa. D'abord et par dessus tout, il y a la famille immédiate. Un Iranistani est le plus loyal aux membres immédiats de sa famille, suivis par les membres de la famille éloignée, les membres du clan et le roi. La fierté est un autre mot pour désigner l'honneur personnel pour un Iranistani. L'honneur et la fierté définissent le respect de soi-même. Les insultes doivent être payées en retour, qu'elles soient petites ou grandes.

Hospitalité
L'hospitalité est également importante pour les Iranistani. La générosité est honorable, ainsi la nourriture et la boisson doivent être données à quiconque vient en paix. Tous les invités doivent être protégés; les Iranistani sont responsables pour tous ceux qui sont dans leurs domiciles. Leur honneur en dépend. Ceci est souvent appelé le lien du sel, ou partager le sel ensemble. Dès qu'une personne est invitée dans la maison d'un Iranistani, cette personne est en sécurité.

Fatalisme
Les Iranistani, indépendamment de l'affiliation tribale, tendent à être fatalistes, se conformant au destin que leur dieu, Asura, leur a préparé. Le destin est important pour les Iranistani et ils croient que les dieux commandent leurs destinées. Ils ne sont pas abattus à l'idée de l'inéluctabilité de leur destin; ils l'acceptent du bout des lèvres.
- Les dieux sont avec toi, Conan! Mais quel homme peut dépasser l'endroit où il tombe ?

Habillement
Les hommes portent des pantalons bouffants de soie ou de coton et de longues chemises ou des robes rayées qui pendent pratiquement jusqu'aux genoux. Elles sont serrées à la taille par de larges ceintures ou écharpes et accompagnées de vestes brodées. Les écharpes maintiennent les armes et sont souvent hérissées de couteaux. La plupart des adultes masculins ont une barbe épaisse. Beaucoup portent des turbans avec une longue bande pendant dans le dos ou de grands capuchons en peau de mouton. D'autres, les nomades en particulier, portent le kaffiyeh, rayé pour identifier leurs tribus. De nombreux soldats portent des turbans enroulés autour de leurs casques de métal à pointe. Les femmes portent aussi des pantalons et des vestes de soie bouffants. Des voiles peuvent aussi être portés mais ne sont pas obligatoires. Les bijoux sont portés par de nombreuses femmes. Les bracelets de bras ou de poignet, les colliers, les tiares, les bandeaux et les fines ceintures d'or ou de platine sont des ornements répandus. Les cheveux des femmes sont laissés longs et tressés en queue de cheval par des bandeaux ornés de pierres précieuses. Tout ce qu'ils portent est embelli et décoré. Les hommes et les femmes Iranistani portent les uns comme les autres de souples souliers avec des pointes relevées. Tout ce que portent les Iranistani, du vêtement le plus basique à l'armure et l'armement, est orné et décoré.

Commerce et économie
L'Iranistan produit majoritairement des tapis tissés à la main, des vêtements brodés, de la soie, de la laine, du coton, des noix et des fruits, du vin, de l'opium, du hashish, des huiles variées (pétrole et huile d'olives), du charbon, du cuivre, du talc, du soufre, du plomb, du zinc, du minerais de fer, du sel, des esclaves et des pierres précieuses et semi-précieuses. En tant que carrefour de commerce entre les Royaumes Noirs, Turan, la Stygie, les Royaumes Dorés, le Ghulistan, la Vendhya et le Khitai, l'Iranistan s'est considérablement enrichie. Turan envie ce commerce et a récemment annexé Zamboula dans le but de contrôler (et d'en tirer profit) le commerce partant d'Iranistan vers l'Occident.

Les forces militaires d'Iranistan
L'Iranistan ne possède pas l'organisation centrale nécessaire pour entretenir une armée au niveau national. Le roi ne peut pas toujours lever des troupes de ses chefs, tandis que les chefs n'ont pas les ressources suffisantes pour entretenir plus d'une poignée d'hommes de troupe. Par contre, tout comme les cités-états de Corinthia, les tribus travaillent ensemble à leur protection mutuelle. Elles peuvent lever une armée à peine coordonnée comprenant principalement des nomades et des pilleurs s'articulant autour de quelques qoldats professionnels tirés des garnisons des villes. Dans les combats, les Iranistani sont brutaux, s'acharnant sur un ennemi tombé jusqu'à ce qu'on puisse à peine le reconnaître. Les Iranistani utilisent plus volontiers des arbalètes et des javelines et ne sont pas considérés comme étant des tireurs d'élite.

Les seuls vrais soldats professionnels d'Iranistan sont les Frondeurs du Roi. ils assomment les ennemis en bas de leurs chevaux de telle manière que les troupes démontées soient écrasées par les unités de cavalerie tribale recrutées parmi les nombreuses tribus de nomades ou d'hommes des collines. Les Frondeurs du Roi sont identifiables par les broderies de leurs vêtements et de leurs coiffes, qui sont portés pardessus l'armure et le casque. Ces troupes professionnelles combattent avec des frondes et des cimeterres. Leur armure est typiquement un haubert de maille et un casque de métal.

Les autres soldats sont issus des tribus. Ils combattent à dos de cheval avec des arcs et des cimeterres. Les soldats des tribus portent des vestes de cuir et des casques de métal. Tout comme les Frondeurs du Roi, les soldats Iranistani identifient leurs unités à travers les broderies de leurs vêtements et de leurs coiffes, qui sont portés pardessus l'armure et le casque. Le paon faisant la roue est un dessin souvent repris parmi la soldatesque Iranistani.

Religion
Les Iranistani du Nord vénèrent principalement le dieu Vendhyen Asura. Cette religion, née de rituels extrêmement complexes dérivés de quatre grands livres Vendhyens, célèbre un ordre cosmique et une croyance de la cause et de l'effet qui s'étend au-delà du royaume physique de telle manière que l'échec à accomplir les bonnes cérémonies ou le fait de briser ses vœux résulterait en une perturbation de l'ordre cosmique. Comme conséquence à ce sens de l'ordre et de la justice cosmiques, les Iranistani croient en un paradis, un enfer et un jugement des âmes.

Asura est le dieu principal des Iranistani et a été importé de Vendhya quand l'Iranistan s'est tourné vers la civilisation. La religion d'Asura, avec sa croyance forte dans la cause et l'effet, embrasse l'idée de fatalité, fatalité qui devient un sinistre devoir. Pour les Iranistani, il n'y a pas de destin en dehors de celui que donne Asura. L'Homme a peu à dire en la matière. Les Iranistani ont teinté leur croyance en asura de leur propre culture et leur fatalisme inné écarte les érudits Iranistani de la tentation de deviner l'avenir. En conséquence, la science divinatoire est absente dans l'Iranistan du Nord. Les Iranistani du Sud suivent une variété de croyances plus chamaniques et primitives et ne sont pas limités par cette restriction.

Gouvernement
Le gouvernement en Iranistan est de type féodal. Le roi d'Iranistan est en théorie soutenu par les chefs tribaux mais ceci se révèle rarement le cas en réalité. Les seigneurs tribaux, s'ils sont en désaccord avec le roi, quittent simplement la cour et l'ignorent. Si le roi veut maintenir sa volonté, il doit envoyer son armée hors d'Anshan pour le faire par les armes. Les Iranistani ne se déroberont pas face à un tel conflit, parce que leur code d'honneur les en empêche. Ils sont liés par l'honneur de protéger ce qui leur appartient, que ce soit leur terre, femmes ou honneur personnel. Les disputes royales sont menées de cette façon. Souvent les troupes royales reviennent avec la tête du chef incriminé ou avec le chef lui-même, qui peut alors être suspendu dans une cage de fer en pâture aux oiseaux. Par contre, le roi prend des décisions pour la nation dans son ensemble et protège les nombreux chefs qui sont dans ses bonnes grâces des invasions de l'extérieur. Il interfère rarement dans un camp ou dans l'autre dans le cas d'une querelle interne. Le code Iranistani permet les guerres de vengeance.
- Non, par Asura! Mon clan occupe Kushaf depuis le temps de Bahram. Que le roi règne à Anshan; ici, je suis chez moi!
Dans Le Kriss°, Kobad Shah, roi d'Iranistan, subit une attaque au couteau dont la lame empoisonnée le tuera à la fin de la nouvelle. Kobad Shah sera succédé par Arshak Shah, son fils.
°(pastiche : Sprague de Camp a modifié une nouvelle de Howard mettant en scène El Borak - un aventurier style Lawrence d'Arabie - pour en faire une aventure de Conan. Je dois reconnaître que la transposition est heureuse, mais cela reste mon avis personnel)

Noms typiques
Les noms Iranistani sont perses. Des noms Turanien sont appropriés également.
Noms féminins :
Afareen, Afsoon, Akram, Azar, Bahamin, Behnaz, Bousseh, Darya, Dina, Elaheh, Farah, Farrin, Faranak, Farva, Firouzeh, Forouzandeh, Ghazal, Geesou, Golnaz, Golpari, Habibeh, Hasti, Jannat, Javaneh, Khandan, Kokab, Laleh, Mahrokh, Mahsheed, Mahta, Marzieh, MehrAngiz, Mehrnoosh, Nanaia, Nazgol, Nazi, Negin, Orkideh, Parastoo, Pareesa, Parishad, Parvin, Ramesh, Robadeh, Shabnam, Shahrnaz, Soheila, Suri, Souzan, Talayeh, Tarsa, Tina, Yalda, Yekta, Zahra, Ziba, Zhila, Zohreh, Zoya.
Noms masculins :
Abtin, ardalan, Arman, Arya, Atash, Babak, Behnam, Behrooz, Bozorgmehr, Dadbeh, Ehsan, Esfandiar, Faramarz, Fardin, Fareed, Farzad, Ferdows, Fereydoon, Ghobad, Goshtasb, Hakhmanni, Hedayat, Hooshmand, Kiarash, Kobad, Mahyar, Mazdak, Mehrang, Mohsen, Nima, Nouri, Omid, Parviz, Payam, Peyman, Pujman, Rostam, Sadri, Saeed, Saman, Sanjar, Sattar, Sepehr, Shahkam, Shahrdad, Shaya, Shervin, Soheil, Tahmaseb

Sites géographiques majeurs
Montagnes Colchiennes - Les Colchiennes marquent la frontière entre l'Iranistan et le Turan. Le Drujistan et la Gorge des Fantômes se trouvent dans le versant sud des montagnes. Des passes comme la Passe Kasmar permettent le commerce entre l'Iranistan et le Turan.
Fleuve Iranistan - Ce fleuve est le cours d'eau principal d'Iranistan. Il se jette dans l'Océan Sud.
Les Montagnes d'Or - Ces montagnes forment la frontière Sud de l'Iranistan. Les Iranistani prospectent de l'or et d'autres minéraux précieux de ces pics, aussi bien que des rivières et des cascades. Les Iranistani entrent souvent en conflit avec le Zembabwei à propos des droits sur la montagne et l'or.

Villes et terres tribales d'importance
Les villages en Iranistan sont composés de maisons en briques de boue (bien que les riches puissent avoir des maisons aux murs de pierre) entourées d'un mur bas. Les nomades en Iranistan utilisent des tentes au lieu de maisons. L'économie du village est de style agricole, basée sur quoi que ce soit dans lequel se spécialise le village, comme le raisin et le vin, le blé et l'orge, ou diverses noix ou du thé. Les hommes du village travaillent dans les champs et les femmes accomplissent les tâches domestiques. Les enfants les plus âgés élèvent les animaux, qui sont une forme de richesse pour les Iranistani, ou aident les hommes dans les champs. Les villageois civilisés et les nomades barbares ont une existence symbiotique. Les villageois laissent les troupeaux de chèvres et de moutons des nomades paître dans leurs champs après la moisson et une autre fois avant les semailles, parce que les déjections des animaux aident à fertiliser le sol. Les nomades achètent des biens des villageois et ceux-ci achètent de la laine, du lait et des esclaves de la part des nomades.
Anshan - Anshan est la capitale étincelante de l'Iranistan et des terres tribales d'Anshan. Anshan est située sur le Fleuve Anshan au-dessus d'un grand monticule. Anshan est le centre économique et culturel par excellence, où le roi d'Iranistan gouverne. La ville produit des textiles et des produits en bois. Anshan a été fondée par des commerçants qui se sont servis du site pour transférer des biens des caravanes venant de Vendhya, Kosala et des Royaumes Noirs pour des caravanes allant vers le Turan. Le site s'est révélé prospère et bientôt des villages satellites sont apparus, faisant pousser des amandiers, des genévriers, des arbres à pistache, du raisin, du blé et de l'orge. Cette cité et ses villages environnants abritent une population de quelques 166.660 Iranistani dirigés par un puissant monarque. Kobad Shah en était le dirigeant durant la période décrite par Le Kriss (The Flame Knife) at pouvait aisément lever une armée d'infanterie lourde de quelques 10.000 hommes, un nombre pitoyable comparé à ses puissants ancêtres. Alors, Kobad Shah s'est servi de mercenaires pour renforcer son armée, spécialement des kozaki ou un détachement de cavalerir hyrkanienne. Le fils de Kobad Shah, Arshak Shah, dirige maintenant Anshan.
Bajkar - Les Bajkari sont une tribu nomade d'Iranistani alliée aux Kaklani. Ils portent des kaffiyeehs rayés bien reconnaissables. Ils sont familiers avec les lignes côtières d'Iranistan et leur territoire s'étend habituellement à l'est de Kaklan. ils voyagent en compagnie d'arbalétriers et la plupart d'entre eux sait nager.
Drujistan - Le Drujistan est le nom donné à la partie Sud des Monts Ilbars, un lieu hanté où peu pourraient vivre. Il se trouve au-delà d'un profond canyon appelé la Gorge des Fantômes. Le Drujistan est une "région d'éperons de roche noire et de gorges arides qu'évitent les sages." Le Drujistan est à un jour de cheval au Sud de Kushaf. La ville mythique de Yanaidar se cache dans ces montagnes.
Eau Verte - Eau Verte est une ville caravanière à un jour de chevauchée au Sud-est du Fleuve Iranistan. Elle est bâtie autour d'une grande oasis et est une ville caravanière majeure conduisant au Désert de Kharamun. eau Verte a un beau bazaar et de nombreuses tavernes. La ville est entourée de murs bas en piteux état et l'oasis est entourée de vergers. Eau Verte est construite suivant un modèle carré, avec une grande place ouverte en son centre pour servir de marché et siège du gouvernement. Une fontaine spectaculaire peut être trouvée en son centre.
Ghaza - Ghaza est spécialisée dans les vignobles, entrant en compétition avec Kyros, une cité shémite. Elle se situe entre le Fleuve Iranistan et les montagnes volcaniques de l'Ouest.
Kaklan - La tribu kaklani vit au Sud de l'Iranistan près de la côte. Leurs robes et leurs ceintures sont jaunes avec des bandes rouges. Ils ont une vieille querelle de sang contre la tribu des Zariri. Leur nombre atteint les 6.700. Ils sont considérés comme étant un peuple très barbare qui pratique le chamanisme.
Kasfir - Kasfir est une cité Iranistani avec un marché au esclave bien connu. seuls les plus beaux esclaves sont vendus là et le marché aux esclaves paye une prime pour de tels esclaves y étant vendus. Les pilleurs et les marchands de Kasfir voyagent aussi loin que la Brythunie, la Vendhya et Kush pour obtenir les plus beaux esclaves. Ils payeront des pères pour leurs filles ou les enlèveront si les pères ne veulent pas les vendre. de nombreuses houris Iranistani et Turaniennes viennent du marché aux esclaves de Kasfir. Kasfir a une population de plus de 8.000 âmes.
Kushaf - A trois jours d'Anshan, Kushaf est la terre tribale des Kushafi dans les Monts Ilbars. Le récit original de Howard indique que le chef commandait trois cent guerriers (People of The Black Circle - traduit à tort selon moi par Le Peuple du Cercle Noir. Les gens du Cercle Noir aurait été plus approprié). Si un guerrier sur vingt personnes peut être appelé au service pour une levée rapide et si un sur cent est un soldat permanent, alors cette tribu a aux alentours de 5.000 membres parmi ses nombreux villages familiaux. Leurs villages sont à peu près à un jour de voyage au Nord du Drujistan.
Zarir - Les zariri sont une tribu Iranistani décrite par Sean A. Moore qui hait les Kaklani avec une passion qui peut seulement exister dans les confins d'une querelle de sang qui remonte à des générations. C'est une tribu nomade conduite par un cheikh nommé Jaral. Cette tribu s'enorgueillit de plus de 3.000 membres parmi son peuple errant. Ils vivent dans des tentes, principalement, et se déplacent du nord au sud et vice versa tout au long de l'année. Ils ne sont pas aussi bon au combat qu'ils l'aimeraient et engagent souvent des mercenaires étrangers pour renforcer leurs nombres quand ils sentent le besoin d'aller en guerre.



Par Fearghal

ça c'est du propre