[Chronique]Les voyages merveilleux de Coquinou et Lapinou

Le soleil était haut ans le ciel de Tarantia, les habitants, vaquant à leurs occupations étaient loin de ce douter du drame qui allait se jouer sous leurs yeux. Sur le pont Vilerius 1er, Coquinou avait les yeux plongés dans le lointain, vers ce pont menant au château du roi Conan. Il espérait un jour avoir l'opportunité de montrer au monde son courage et sa bravoure. Car, en effet, quel autre lieu plus majestueux pouvait convenir à sa future grandeur et ses exploits innombrables?

Mais, tout à ses réflexions il ne vit pas l'ombre s'approcher dans son dos, le sourire carnassier, l'oeil à la lueur maléfique.

_HAAAAAAAAAAAAAA!
_HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!

Coquinou fit un bond, terrifié par ce cri venu d'ailleurs! Son coeur emballé, les jambes tremblotantes, il regardait dans le vide, au bord de la chute. Vif comme l'éclair il se retourna, prêt à rouer de coup l'imbécile qui avait osé lui faire une si grande peur.

_Espèce de...

C'est là qu'il s'aperçut que c'était Lapinou, aux oreilles frétillantes et au regard empli d'étoiles, comme dans ce livre d'images qu'il avait vu, d'un certain Disneus. Coquinou grommela dans son bec, ses plumes hérissé de colère.

_Lapinou, tu es folle, j'ai bien failli mourir!
_Salut Coquinou! Tu veux toujours sauter du pont tout en haut?

Coquinou émit un bruit inintelligible, ce qui fit pencher la tête de Lapinou de côté, l'air surpris.

_Qu'est-ce que tu dis, demanda-t-elle?
_Oui, bien sur que je veux sauter d'en haut, il est temps de montrer au monde qu'un coq peut très bien voler lui aussi. Mais la garde m'empêche toujours de passer, sous prétexte que je ne suis qu'un coq de basse-cour.

Un sourire gigantesque commença alors a apparaitre sur le visage de Lapinou. Coquinou savait que quand elle avait ce sourire cela n'augurait que des ennuis en perspective. Comme lorsqu'elle avait eu l'idée d'aller chatouiller un picte endormi sur cette plage, emplie de crocodiles.

_Je sais comment y aller.

Coquinou tenta de résister à la tentation, mais il sentait monter en lui l'excitation de l'exploit à venir, le germe de sa gloire naissante. Une aura sombre se forma autour de lui, et sa voix se fait caverneuse.

_Dis moi où...
_Mieux, s'exclama Lapinou! Je vais te montrer. Suis moi!

Et d'un bond elle sauta par dessus la rambarde, se jetant, sans réfléchir dans le vide qui la séparait de l'eau. Le bec manquant de lui tomber Coquinou vit son amie tenter de se suicider. Il n'osait pas regarder par dessus, de peur de voir le corps éclaté de Lapinou dériver dans l'eau du port. A moins qu'elle ne se soit écrasée sur un bateau, ou empalée sur un mat. Sa mort dans tous les cas avait due être atroce. Mais alors qu'il avait ses ailes repliées sur ses yeux et qu'il priait Mitra et le Grand Coq pour le salut de son âme il entendit une petite voix:

_...coquinou...coquinou...

Il jeta un coup d'oeil par dessus le pont, et vit Lapinou qui barbotait tranquillement dans l'eau.

_Alors tu viens, lui cria-t-elle?

Abassourdi, il n'osa pas répondre. Mais il n'était pas dit qu'un Coquinou aurait moins de courage qu'un Lapinou. Il enjamba le bord du pont, tout en pensant que c'était diablement haut et priant pour qu'aucun bateau ne passe par là. Puis il sauta.


à suivre...

Les méfaits de la drOgue ............

C'est délicieusement dérangé !

La suite ! La suite ! xD

je suis un grands fan !!!!!!

_Dis, Coquinou, tu m’avais pas dit que tu savais nager, demanda Lapinou ?

C’est dans les eaux du port de Tarantia que Lapinou et Coquinou barbotaient, se dirigeant lentement, mais surement vers un navire aux voiles mauves.

_Si, bien sur, répondit Coquinou, un brin méprisant.
_Mais alors pourquoi tu as une bouée en forme de canard, s’exclama Lapinou ?!

Coquinou se figea en un instant, tel un faon pris pur cible par un chasseur et sentant venir la mort fondre sur lui. Ses plumes, légèrement trempées, se hérissèrent d’un coup.

_C’est…c’est…c’est parce que c’est plus pratique !

Lapinou pencha la tête de côté et repris sa nage en direction du bateau. C’est presque arrivé à celui-ci qu’elle s’arrêta brusquement et se retourna effarée vers Coquinou :

_HAAAAAAAAAAAA !

Le cri de Lapinou manqua de renverser Coquinou et il ne dut qu’à la chance de ne pas se retrouver la tête et la crête sous l’eau.

_Tu ne sais pas nager, cria Lapinou !

Coquinou regardait ailleurs, faisant semblant de ne pas avoir entendu ce qu’avait dit Lapinou. Mais lorsqu’il jeta un coup d’œil à cette dernière il vit ses grands yeux de lapin empli de larmes. C’est honteux qu’il s’apprêta à s’excuser quand il s’aperçu que c’était parce que Lapinou essayé de garder les yeux ouverts en regardant le soleil qu’elle pleurait. Puis comme elle n’arrivait pas à tenir elle dit à Coquinou :

_Bon, allez, ça suffit les bêtises, faut qu’on continue, on a un pont à visiter.

Bec bée, Coquinou vit Lapinou finir de se diriger vers le bateau. Quand elle se retourna, elle vit que Coquinou était resté sur place, complétement abasourdi.

_Alors, tu viens ou tu préfères te faire écraser par le bateau qui arrive, demanda-t-elle ?

S’apercevant qu’en effet un bateau arrivait dans sa direction, monstre de bois qui allait certainement le transformer en poule au pot, il se mit à galoper de ses petites pattes de poulet. Il faut dire ce qu’il est, ce n’est pas très efficace pour avancer, même avec une bouée en forme de canard. Et c’est de justesse qu’il arriva à côté de Lapinou, qui ricanait bêtement. Au bord de l’apoplexie, le souffle coupé, la crête dressée sur la tête, Coquinou semblait sur le point d’exploser, quand Lapinou engagea la suite des opérations.

_Vite, il faut se dépécher sinon on ne va pas y arriver, dit-elle.

Et elle se mit à nager à reculons, refaisant le chemin inverse qui l’avait amené au bateau. Coquinou la suivit avec grande difficulté. Puis arrivé à un point qui semblait totalement arbitraire Lapinou s’exclama :

_Là !

Et elle plongea sous l’eau. Totalement paniqué Coquinou fit la même chose. D’abord il ne se passa rien, il vit même un poisson passer tranquillement par là. Puis il se sentit aspirer vers le bas, comme si quelque chose cherchait à le gober. Il essaya vainement de crier mais se retrouva à avaler de l’eau. Au loin il commença a entrevoir une lumière. Serait-ce le paradis des coqs qui l’appelait ainsi ?

A suivre…

on veut la sweet

Schlopf!

C'est avec un bruit de bouchon que l'on expulse que Coquinou et Lapinou sortirent de l'eau et du vortex dans lequel ils se trouvaient. Coquinou avait l'air ébahit alors que Lapinou riait aux éclats. Elle se tourna vers lui, l'air mystérieux.

_Allez, suis-moi, dit-elle.

Et elle commença a faire des mouvements étranges, tout en se déplaçant dans l'eau, sautillant même par moment.. Coquinou ne comprenait rien et tentait tant bien que mal de la suivre tout en gardant sa dignité de coq. Il faut avouer que ce n'était guère facile, entre ses plumes toutes trempées, sa bouée canard, et ces mouvements ridicules. Puis tout d'un coup Lapinou se mit à nager à toute vitesse en direction du port. Paniqué Coquinou essaya de la suivre.

_Attends-moi, criait-il!
_Dépêche-toi, se contentait de répondre Lapinou.

C'est épuisé qu'il finit par la rejoindre, sur un petit bout de sable qui dépassait et sur lequel se trouvait un des promontoires permettant aux passages de monter dans les bateaux amarés. Alors qu'il se mettait au sec Coquinou regarda autour de lui. Quelque chose était étrange ici, mais il n'arrivait pas à trouver quoi. Pendant ce temps Lapinou, s'était hissée sur la berge et cavalait pour aller sur la jetée. Coquinou la suivit, en se dépéchant, pour ne pas être distancé. C'est alors qu'il comprit ce qui lui parraissait étrange.

_Mais où sont les gens, s'exclama-t-il?

Lapinou le regarda avec ses grands yeux étonnés et haussa les épaules.

_J'sais pas. On s'en moque non? Allez viens, je vais te montrer un truc!

Et elle repris sa route. Coquinou, maugréant comme à son habitude face à sa camarade si peu intéressée par des choses aussi graves que ça, se mit en route aussi. Ils traversèrent les rues de Tarantia déserte à toute vitesse. Jusqu'à arriver face au bâtiment des négociants. La machoire de Coquinou faillit lui tomber sur les pieds tellement ce qu'il voyait était incompréhensible.

_Mais...mais...mais, bafouillat-il.
_C'est une colline, s'exclama joyeusement Lapinou, tu as vu?
_C'est pas possible on est revenu dans le temps, manqua de s'étouffer Coquinou?

Lapinou haussa les épaules encore une fois, en riant.

_Allez viens, on va au pont!

Et elle repris sa route à toute vitesse. Coquinou mis quelques secondes à se remettre de sa stupeur et à la suivre, gardant quand même un oeil sur la colline où était censée se trouver les négociants. Ils passèrent le pont Vilérius Premier sans encombre et entrèrent dans le quartier noble. Là aussi nombre de bâtiments semblaient ne pas avoir été construits et partout l'on voyait des champs et des plaines. Coquinou, tout à sa découverte du paysage ne faisait pas attention où il mettait les pieds. C'est alors qu'il ne senti plus le sol sous ses pattes. il tenta vainement de battre des ailes, puis de se racrocher au bord avant de chuter lourdement dans un trou. C'est le bec à moitié enfoncé dans le sol qu'il entendit Lapinou l'appeler.

_Coquinou? Où es-tu?
_Dans le trou, ici, répondit-il.

Lapinou revint au trou, et jeta un regard dedans, avant d'éclater de rire.

_Coquinou, que tu es bête, pourquoi t'es allé dans le trou?
_J'ai pas fait exprés, je suis tombé. Aide-moi plutôt à sortir au lieu de rire comme une baleine.

Lapinou se pencha et tendit sa petite patte pour que Coquinou l'attrappe. Mais, leur taille respective, et la profondeur du trou les empêchèrent de se rejoindre. Coquinou commença alors à s'affoler.

_Haaaaaa, je vais rester coincé ici, je vais mourir de faim! Non! Mitra aide-moi!

C'est alors qu'il entendit un ricanement venir d'au dessus de lui. Il leva la tête et vit que c'était Lapinou. Une ombre malfaisante semblait être tombée sur elle au point que son visage était méconnaissable. Une lueur mauvaise animait ses yeux.

_J'ai une idée, dit-elle lentement, comme savourant celle-ci.

Elle porta la main à son dos, et sorti son arbalète, qu'elle commença à armer. Coquinou n'était pas rassuré.

_Qu'est-ce...que vas-tu faire, bredouilla-t-il?

Lapinou ne répondit pas, et pointa l'arbalète sur Coquinou, qui se mit à paniquer et à courir dans tous les sens dans son trou.

_Non, pitié ne fait...

Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase qu'un carreau se planta dans ses fesses, suivit d'un deuxième. Le troisième trouva enfin sa tête, dont il étala le cerveau sur le sol. Lapinou se mit à rire, de ce rire dément qu'on les fous et les meurtriers. Puis elle poussa un grand cri, agita les bras et désigna le cadavre de Coquinou. En un instant ce dernier se retrouva à ses côtés, sans aucune cicatrice. Stupéfait il regardat Lapinou.

_Comment...
_C'est magique, répliqua-t-elle d'un ton ferme. Bon direction le pont maintenant.

Une fois de plus Lapinou repris la route, sans se soucier si Coquinou la suivait ou non. Encore peu assuré sur ses pattes, ce dernier se mit tout de même à sa suite. Ils arrivèrent alors sur le grand pont menant au chateau du roi. Gigantesque et majestueux, il semblait dominer l'espace et être un chemin parcourant le ciel. Coquinou s'approcha d'un des bords, et la hauteur lui donna le vertige. Quiconque tombait de cet endroit avait peu de chance d'en sortir vivant, même en plongeant dans les eaux du port. Mais lui volerait, il s'élancerait et deviendrait un oiseau.

_Prêt, s'exclama Lapinou?

Coquinou hocha la tête et se mit sur un des bords du pont. Prêt à s'élancer pour sauter et s'envoler. Il se mit alors à courir, du plus vite que ses petites pattes le lui permettait. Et alors qu'il bondissait, sentant l'air s'engouffrer dans ses plumes, il entendit au loin la voix de Lapinou.

_Attends, tu n'es...

Il n'entendit pas la suite, il planait, un sourire commença à apparaitre sur son bec. Pour disparaitre aussitôt quand il sentit l'attraction terrestre le tirer vers le bas. Il se sentait tomber. Et alors qu'il regardait sous lui, il vit le sol se rapprocher à une vitesse phénoménale. Il n'avait pas pris la bonne direction. Il ne tomberait pas dans l'eau, mais sur une ponton en pierre.

_Et merde, pensa-t-il.

Splosch!

Citation :

_Attends, tu n'es...

Il n'entendit pas la suite, il planait, un sourire commença à apparaitre sur son bec. Pour disparaitre aussitôt quand il sentit l'attraction terrestre le tirer vers le bas. Il se sentait tomber. Et alors qu'il regardait sous lui, il vit le sol se rapprocher à une vitesse phénoménale. Il n'avait pas pris la bonne direction. Il ne tomberait pas dans l'eau, mais sur une ponton en pierre.

J'etais MDR pour ce passage XD, le petit coq dans les airs qui commencent a sourire, mais mdr XDDD
Surtout que c'est ce qui s'est vraiment passé ! Natyri s'est bel et bien manger le sol, la pauvre ! ^^

Je ricanais comme une vieille hyène en l'écrivant justement. ^^

Cela dit, je suis en train de préparer la suite sur notre sortie au Royaume Frontalier Cimmérien, quand nous avons voulu voir ce que c'était que Bori. Je pense qu'il y'a de quoi faire une bonne tranche de rigolade.

P.S.: je joue pas ce soir car mon install d'AoC à buggé, je suis obligé de tout reprendre. Et comme j'ai pas le jeu en cd mais que je suis obligé de le dl ça prend un temps fou, avec ma connexion en mousse.

MDR oui encore mieux ! Ah oui oui j'ai hate la ! xD

Une fois n'était pas coutume Coquinou posait ses yeux sur l'horizon, le torse fièrement bombé, le regard au lointain, la crète au vent. Il pouvait sentir la violence qui animait les royaumes frontaliers cimmériens. Ici sa légende s'écrirait dans le sang des malheureux qui tomberaient sous les coups intrépides de son bec et de ses pattes. Il se voyait déjà marcher dans les rues de Tarantia, des belles petites poules le suivant en caquetant pour avoir ses faveurs pendant que les hommes seraient là à le regarder, envieux et admiratifs.

La boule de neige qu'il reçut sur le coin du visage le ramena à la réalité. Lapinou regardait le sol avec un intérêt d'autant plus intense qu'il n'avait rien de particulier. Les yeux de Coquinou s'étrécirent.

_Lapinou, dit-il?

Cette dernière releva la tête l'air innocent, papillonant des yeux.

_Oui, Coquinou?
_Tu ne saurais pas qui m'a envoyé une boule de neige?

Lapinou regarda autour d'elle, il n'y avait personne à des lieux à la ronde. Puis elle secoua la tête.

_Non! Viens, on va voir les gens qui se battent. Je suis sur qu'on peut en attraper un!

Et sans attendre de réponse elle s'enfuie en direction du nord. Coquinou fut bien obligé de la suivre, il était hors de question de laisser cet affront sans réparation. Alors qu'il se rapprochait de Lapinou celle-ci se jeta dans un fourré. Surpris Coquinou ne sut pas quoi faire. Lapinou ressortir rapidement du fourré, attrapa Coquinou par l'aile et le tira vers elle. A peine furent-ils cachés qu'il entendit enfin des bruits de cavalcades. Trois ou quatre hommes en armes et armures passèrent sur le chemin qu'ils venaient juste de quitter. L'odeur du sang les suivaient, et longtemps encore après qu'ils ne les voyaient plus, ils entendaient le cliquetis des armes sur les armures.

Prudemment les deux amis sortirent du buisson, faisant bien attention à ce que personne ne se trouvait dans les parages. Ils se regardèrent enfin, et un éclair de compréhension mutuel passa entre eux.

_Nous devons...commença Coquinou.
_...être silencieux, termina Lapinou.

Les deux hochèrent la tête à l'unisson, et se mirent à avancer prudemment, sans faire le moindre bruit. Ils arrivèrent alors aux abords d'un village. Deux petites troupes s'y faisaient face, et quelques affrontements avaient lieux. Coquinou et Lapinou décidèrent de contourner le village et d'aller plus loin. Au bout de quelques instants il arrivèrent devant un gisement rocheux qui affleurait à l'air libre. Lapinou sembla ne plus se tenir et se jeta joyeusement sur celui-ci, sortant une pioche d'on ne savait où. Ses petits cris résonnaient dans la vallée. Coquinou se jeta sur elle et imposa son aile plumeuse sur sa bouche de lapin.

_ça va pas, murmura-t-il furieux? Tu vas nous faire repérer!

Les yeux de Lapinou s'aggrandirent devant la compréhension et elle hocha la tête. Coquinou la lacha et respira.

_Qu'est ce que tu comptes faire, demanda-t-il à voix basse?
_C'est pour en attirer un qu'on pourra dépouiller, répondit-elle sur le même ton.

Le même sourire malveillant se peignit sur la face des deux compères. Et ils ricanèrent de concert devant l'idée de leur méfait futur.

_Très bien, dit Coquinou, je vais me cacher pendant que tu pioches. Comme ça on le prendra par surprise.

Sur ces mots il alla se cacher derrière un arbre qui se trouvait non loin de là. L'attente dura quelques temps, et Coquinou rongeait son frein au rythme des coups de pioche de Lapinou. Il commençait à perdre patiente lorsqu'il entendit Lapinou crier. Pensant enfin qu'une victime était arriver il sorti de sa cachette. Pour se trouver nez à nez avec un immense nuage de poussière. Celui-ci venait d'engloutir Lapinou sur son passage et allait en faire de même avec lui. Coquinou tenta vainement de prendre la fuite, mais il était déjà trop tard.

Quelques instants, sur le sol des royaumes frontaliers se trouvaient un petit coq et une petite lapine, écrasés, des marques de bottes partout sur leur corps martyrisés par la violence de la rencontre.

_Qu'est...ce que...gémit Coquinou.
_Je sais pas...répondit Lapinou sur le même ton.
_Tu crois qu'ils nous ont vu?
_Non.
_On rentre à la maison?
_Oui.

C'est ainsi que Coquinou et Lapinou découvrir cette bête féroce que l'on appelle le bus.

J'en pleure de rire XD
C'etait trop beau a voir ce moment au royaumes frontaliers XD

Un véritable moment d'anthologie.